Le mensonge sur le coronavirus et la surveillance totale

5. Bienvenue dans une nouvelle époque féodale : Les alarmistes et leur nouvel ordre mondial

« Le génie de gouverner est de faire accomplir les tâches du dirigeant par les gouvernés » Zygmunt Bauman

Lorsque j’ai entendu pour la première fois le mot « pandémie du coronavirus » ou COVID-19, j’ai eu un sentiment de malaise. Non pas à cause du virus, mais bien à cause de la tactique de l’angoisse. Aujourd’hui, je considère le virus plutôt comme un virus de la grippe, peut-être un peu plus fort. L’affirmation de certains*es politiciens*nes américains selon laquelle le virus puisse provenir d’un laboratoire en Chine (1) reste une supposition et ne peut jusqu’à ce jour être prouvée de façon factuelle. Curieusement, en novembre 2019, une vague de grippe a éclaté aux États-Unis, touchant au moins 32 millions de personnes et faisant 18.000 morts (2). Mon malaise lui, est clairement lié à l’abolition de nos libertés. Il y a vingt ans, je m’imaginais déjà des scènes d’horreur que je n’aurais jamais crues possibles de mon vivant. Malheureusement, c’est arrivé. Mais comment a-t-on pu en arriver là ? Depuis quand la machinerie est-t-elle en marche ? Et enfin, qui a cette intention malveillante à notre égard et pourquoi ?

Comme déjà mentionné dans la quatrième partie de ce dossier, depuis la Révolution française jusqu’au début des années 1980, de nombreux mouvements citoyens ont permis d’atteindre une certaine prospérité sociale. Cette prospérité n’a jamais été bien acceptée par l’élite, qui estime que l’État doit être présent autant que nécessaire, mais aussi peu que possible. Selon la règle du marché des capitaux, la prospérité sociale de l’État pour tous*tes les citoyens*nes est considérée comme une perte de profit et de valeur pour l’élite.

La Première Guerre mondiale avait causé tant de misère en Europe, qu’à l’époque, il n’était guère possible pour l’élite d’instaurer un ordre mondial à son goût, du fait que l’économie était en ruine. Au contraire, en Amérique, on préparait la mise en scène de la première crise financière du siècle, qui eut lieu en juin 1929. D’une part, les citoyens*nes américains*nes s’étaient surendettés*es au moyen de prêts à la consommation. En même temps, les actions des entreprises étaient fiévreusement surévaluées en bourse. En 1928, il y avait déjà eu des baisses de cours importantes mais de courtes durées. Peu après, le marché boursier a continué à se développer à la hausse. Cependant, jusqu’à l’éclatement de la bulle, la spéculation galopante s’est réalisée sur la base des crédits. L’octroi de crédits par les États-Unis envers l’Allemagne ainsi que d’autres pays d’Europe, d’Asie et d’Océanie s’est pratiquement effondré. Les conséquences ont été un chômage de masse, des ruées bancaires et des faillites massives.

À cette époque, selon la devise : too big to fail, il n’y avait pas de socialisation de la dette des élites. Après la Seconde Guerre mondiale, afin d’éviter une seconde fois une mise en scène désagréable pour l’élite ne lui permettant pas de socialiser la dette, les accords de Bretton Woods furent conclus. Au début des années 1980, selon l’exigence de l’élite, Ronald Regan et Margareth Thatcher ont commencé à réduire les dépenses de l’État. Des privatisations se trouvaient en tête du programme des réformes et ont été réalisées. En principe, je n’ai rien contre le fait que l’État mandate des partenaires privés pour construire, moderniser et entretenir ses infrastructures de base. Toutefois, cela ne doit pas se faire dans la perspective d’un transfert complet des infrastructures à ces partenaires privés. Après tout, ces partenaires travaillent exclusivement dans un but lucratif. De nombreux exemples peuvent être cités : la privatisation du secteur de la santé (Röhn-Klinikum AG), des chemins de fer ((Keolis, National Express, Flixtrain (3)), de l’électricité ((900 fournisseurs d’électricité (4)) et de l’approvisionnement en eau (5). En fin de compte, ce sont toujours les consommateurs*trices qui paient la note. À titre d’exemple, à 30,88 cents/kWh, l’Allemagne est l’un des fournisseurs d’électricité le plus cher d’Europe (6).

Oui, le système doit à nouveau fonctionner du bas vers le haut et les citoyens*nes doivent se soumettre au pouvoir de l’élite. Pour atteindre cet objectif, la bulle Internet a été provoquée en 2000 et en 2008, la première crise financière et par la même occasion celle de l’euro. Une fois de plus, ces crises ont été mises en scène par l’élite afin de disposer d’une raison valable visant au démantèlement social de la démocratie. En 2009, lorsque la troïka (Fonds monétaire international, Commission européenne et Banque mondiale) a obligé la Grèce à adopter un plan d’austérité – comprenant la privatisation des services publics – c’était uniquement dans l’intention de remplir les coffres des banques touchées par le défaut de paiement de ce pays. Les citoyens*nes en Grèce n’ont jamais vu un seul denier de cette aide financière versée par la troïka, mais bien constaté une forte augmentation du prix des services publics. Ceux qui ne peuvent plus se permettre de payer les coûts accrus des soins de santé restent malades et n’ont qu’à voir comment ils restent en vie. Selon mon point de vue, ces mesures sont criminelles.

Sous le prétexte du coronavirus, l’élite dispose désormais des meilleurs outils pour inciter à la panique, asservir et contrôler les citoyens*nes du monde entier, de finaliser le démantèlement de la démocratie et de mettre l’État hors d’état de nuire. Car, lorsque les gouvernements collectent des milliards de dollars en taxes pour Gates et le Forum économique mondial, cela signifie la prise totale de contrôle par les entreprises siégeant au gouvernement mondial. Pendant longtemps, c’est l’inverse qui s’est produit : l’élite devait payer les Nations Unies et les États pour obtenir le droit de co-gouverner le monde.

Pourquoi devrions-nous utiliser l’argent de nos contribuables pour financer les différentes sociétés d’une fondation criminelle appelée Bill et Melinda Gates ? Apparemment il s’agirait de subventionner le développement de vaccins, la fabrication de médicaments et des tests d’immunité. Pourquoi une répétition générale de la mise en scène de la pandémie du coronavirus („Préparation à une pandémie d’agents pathogènes respiratoires à fort impact“ – Event 201) a-t-elle été organisée par la Fondation Gates et le Centre Johns Hopkins en octobre 2019 ? Et, quel est s’il vous plaît le rapport entre cette répétition générale et l’Initiative sur la Menace Nucléaire (NTI) ? Surtout, si on sait que cette Initiative contre la Menace Nucléaire est une organisation qui ne s’intéresse à la santé que lorsqu’il s’agit de guerre biologique, la question pourrait bien être posée : Qui sont les véritables acteurs du COVID-19 (7) ?

Le fer de lance du néolibéralisme est la numérisation de notre société. Les GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft) ont ensemble un pouvoir mondial sans précédent. Les dirigeants peuvent réaliser leur rêve de surveillance et de contrôle du comportement sans interruption. Avec le COVID-19, les données de santé sont stockées de manière centralisée afin qu’elles soient accessibles à tous les ayants droit (8). Même si la présidente de l’Union Europénne, Ursula von der Leyen, ainsi que notre ministre de la santé, Jens Spahn (un lobbyiste pharmaceutique, entre autres), annoncent que la collecte par l’État de données sur les patients au moyen du dossier électronique du patient (ePA) sera rendue anonyme et volontaire, cela ne signifie pas pour autant que ces dossiers serviront plus aux médecins et aux patients qu’aux collecteurs de données et des sociétés informatiques. Et avec la panique du coronavirus, presque tous*tes les citoyens*nes sont prêts*es, sans aucun doute, à confier leurs données privées.

Lorsque Jens Spahn veut absolument obtenir les données de personnes non infectées, la voie du citoyen transparent est toute tracée (9). Lorsque Edward Snowden nous met en garde à propos d’une architecture digitale d’oppression, cela est tout à fait justifié, parce que comme il le dit : « Pendant que l’autoritarisme est en train de se répandre, que les lois d’urgence se multiplient et que nous sacrifions nos droits, nous nous privons également de notre capacité d’arrêter le glissement vers un monde moins libéral et moins libre. » Et selon Snowden, les méthodes de surveillance actuelles utilisées pour contenir la propagation de COVID-19 ne seront jamais annulées (10).

Quiconque croit encore que le COVID-19 pourrait donner naissance à une nouvelle façon de penser à notre coexistence sur cette planète se trompe. Jamais l’élite ne se laissera prendre à un tel jeu. Grâce à une surveillance stricte de leurs citoyens*nes, les États ont toutes les possibilités entre leurs mains pour éliminer les mouvements d’opposition. Le sang qui coule dans les veines de l’élite est le profit et elle se battra avec acharnement pour gagner encore plus de pouvoir et de richesse. Pour arriver à leurs fins, ils opprimeront et tromperont les citoyens*nes (11).

Et si en tant qu’opposant vous allez trop loin, il peut arriver qu’il*elle se retrouve dans un hôpital psychiatrique. Avec sa tentative de déclarer le confinement comme anticonstitutionnel et du plus grand scandale juridique, l’avocate Beate Bahner a annoncé dans son pamphlet de 19 pages de faire examiner la réglementation sur le coronavirus. Juridiquement, Beate Bahner a accusé les gouvernements fédéraux de ne pas avoir fait vérifier leurs réglementations sur le coronavirus par la loi sur la protection contre les infections (IfSG – Infektionsschutzgesetz). Son message fondamental était le suivant : « En cas d’épidémies, les malades sont isolés, pas les personnes en bonne santé ». En revanche, les restrictions durant le confinement ainsi que la fermeture de nombreux magasins et institutions ont touché « 83 millions de personnes, elles en bonne santé ».

Le 8 avril de cette année, devant le tribunal administratif de Mannheim (VGH – Verwaltungsgerichtshof) elle avait demandé un réexamen de l’ordonnance sur le coronavirus de l’État fédéral de Bade-Wurtemberg et, parallèlement, auprès de la Cour constitutionnelle fédérale, elle avait introduit des mesures provisoires contre l’ordonnance sur le coronavirus de tous les 16 États allemands. Ses demandes ont été rejetées parce qu’elles étaient rédigées de manière polémique. Dans ses écrits, Beate Bahner parle de « guerre d’agression contre nos droits fondamentaux », de « panique » et de « propagande, telle que l’Allemagne l’a vécue pour la dernière fois sous le Troisième Reich » diffusées par les gouvernements et les médias. Malheureusement, elle a eu des ennuis avec la police criminelle qui a mené une enquête sur elle avec pour motif selon le § 111 StGB (Strafgesetzbuch – Code Pénal) : « incitation publique à commettre des actes illégaux ». En fait, elle avait été arrêtée selon l’adage « Coronoïa 2020 – Plus jamais avec nous. Nous nous réveillons aujourd’hui », elle avait lancé un appel pour organiser des manifestations nationales le 11 avril. Même son site web a été temporairement mis hors ligne.

Le 12 avril, la situation s’est définitivement dégradée. En panique, elle s’est mise à courir dans la rue parce que dans son parking souterrain elle se sentait menacée par deux hommes assis dans une voiture. Elle s’est alors approchée des passants et leur a demandé d’appeler la police. Puis, elle a atterri dans un hôpital psychiatrique. Bien qu’une demande officielle de prolongation du séjour dans la clinique ait été faite, un juge du district de Heidelberg l’a rejetée. Plus tard, Beate Bahner a donné une version complètement différente sur sa situation (12). Dans ce cas, des questions peuvent être posées : A-t-elle été forcée de le faire ? A-t-elle été menacée de restrictions plus sévères de sa liberté en cas de représailles ? Ou bien, les médias l’ont-ils étiquetée comme une malade mentale ?

Les machinations criminelles de l’élite vont bien plus loin qu’on ne peut l’imaginer. Tout comme pour la crise financière et bancaire de 2008, il est déjà écrit noir sur blanc que la facture du coronavirus sera payée par les contribuables ainsi que par les petites et moyennes entreprises (13). Le 10 février 2020, le DAX affichait 13.781 points. A partir de ce moment, et ce jusqu’au 9 mars 2020, le DAX a perdu 5.455,5 points et est tombé à 8.325,5 points, ce qui équivaut à une perte de 39,59 pourcent. À titre de comparaison, le 24 décembre 2008, le DAX se situait à 8.065 points et le 23 février 2009 à 3.642,5 points, soit une perte de 4.419,5 points ou 54,84 pourcent.

Contrairement à la crise actuelle déclenchée par un virus, la crise financière de 2008 trouve sa source dans le réseau bancaire mondial – et ses règles laxistes. Aujourd’hui, cela signifie concrètement que l’ampleur de la crise actuelle a tendance à frapper les petites et moyennes entreprises plus durement que les grandes sociétés, les banques et les institutions financières, car cette fois-ci, les banques centrales ont injecté énormément plus d’argent dans des entreprises supposées importantes sur le plan systémique. Malheureusement, les petites et moyennes entreprises, les arts et la culture, les travailleurs indépendants, la restauration, etc. n’ont guère bénéficié d’un soutien financier. Cela explique clairement pourquoi le DAX est remonté à plus de 13.000 points le 31 août 2020. Comment cela peut-il fonctionner ?

Nous entrons dans une nouvelle ère féodale dans laquelle une poignée d’entreprises technologiques américaines entraînent le reste du monde dans le projet le plus antidémocratique de l’histoire de l’humanité (14). Et personne, ou trop peu de personnes, ne veut regarder la réalité en face, parce que la majorité ne souhaite à aucun prix quitter sa zone de confort. Le mécanisme de la porte battante est tellement courant en politique. Aujourd’hui ministre, secrétaire d’État ou haut fonctionnaire, et demain mandataire auprès d’une grosse entreprise. Mi-2017, on a appris que quelques mois après sa défaite aux élections législatives régionales, l’ancienne première ministre de Rhénanie-du-Nord-Westphalie Hannelore Kraft (SPD) est devenue membre du conseil de surveillance de la société charbonnière RAG (Ruhrkohl AG). Cela vaut également pour le ministre président du Schleswig-Holstein, Torsten Albig (également SPD), qui a, en tant que lobbyiste, rejoint le groupe DHL à Bruxelles.

Les portes battantes séparant la politique du monde des affaires tournent à plein régime. Voici un petit extrait de la très longue liste : Joschka Fischer (Bündnis 90/die Grüße) ancien ministre des affaires étrangères : conseille Siemens, BMW et RWE ; ancien chancelier Gerhard Schröder (SPD) : chef du conseil de surveillance de la plus grande compagnie pétrolière russe Rosneft et de Gazprom ; Sigmar Gabriel (SPD) : ancien ministre de l’économie et des affaires étrangères, maintenant membre du conseil d’administration de Siemens Alstom, mais en même temps reste coller à son fauteuil en tant que membre du Bundestag (Parlement). Selon le rapport 2017 de Transparency International, 30 pourcent des 171 députés européens qui ont quitté le Parlement depuis les élections européennes de 2009 et qui n’ont pas pris leur retraite sont entrés auprès d’une des organisations figurant sur le registre des lobbyistes de l’UE (15). 30.000 lobbyistes travaillent chaque jour à Bruxelles ! Rien qu’au cours des deux dernières années, les lobbyistes de Google ont rencontré 124 commissaires européens ainsi que leurs plus proches collaborateurs. C’est ce qu’on appelle le pouvoir du marché.

Fixation des prix, évasion fiscale, menaces de toutes sortes, prises de contrôle hostiles, etc. composent le jeu de l’élite. Selon le rapport de 2017 de la grande banque suisse UBS sur la richesse, plus que jamais, tellement peu de personnes disposent d’autant de ressources : 1.542 milliardaires ont, seulement en une année, augmenté leurs avoirs d’un cinquième pour atteindre six billions de dollars. Quels sont les instruments utilisés ? Le pouvoir de faire chanter les gouvernements en utilisant l’argument de la « pertinence systémique », le pouvoir d’éliminer la concurrence et de fermer les marchés, le pouvoir d’infiltrer et de manipuler toutes les institutions, organisations et gouvernements concernés etc. Et qu’est-ce qu’un homme politique obtient en échange de l’adoption de lois légalisant en Allemagne l’utilisation du glyphosate, un poison agraire toxique ? Le pouvoir des chefs d’entreprise est de faire aux politiciens*nes des offres qu’ils ne peuvent pas refuser. La récompense qu’une entreprise peut offrir pour le remercier de l’action souhaitée est un poste bien rémunéré, par exemple, en tant que président du conseil d’administration au sein de l’entreprise demanderesse. Cette méthode est très similaire à celle mise en pratique par la criminalité organisée (16).

La complicité entre les néo-libéraux et les institutions étatiques est tout aussi vraie si on part du principe qu’il s’agit d’une fausse pandémie, ce qui est utile aux deux sociétés – en l’occurrence les néo-libéraux et les institutions étatiques – pour perfectionner et tester de nouveaux dispositifs de discipline sociale (17). Et c’est parfaitement logique, car dès 2010, Peter Schwartz a développé, en collaboration avec la Fondation Rockefeller, le scénario „Lock Step“ (étape du verrouillage) du Beautiful New Surveillance World, comme une vision de l’avenir après une pandémie. Selon M. Schwartz, « Nous accepterons progressivement une surveillance beaucoup plus importante. Et au final, cela ne nous dérangera pas parce que, pour la plupart des gens dans la plupart des situations, cela fait plus de bien que de mal. » En échange de plus de sécurité et de stabilité, les citoyens*nes devraient céder volontairement une partie de leur souveraineté – et de leur vie privée – à des États plus paternalistes (18). En clair, cela signifie : vendre son âme au diable néolibéral. La voie de la surveillance totale est donc ouverte depuis un certain temps déjà. Cette condition désagréable est probablement déjà testée en Nouvelle-Zélande, que ce soit pour les cas nouvellement infectés ou suspectés, la quarantaine obligatoire sous surveillance constante s’applique. Là, le gouvernement a réagi de façon si drastique qu’il faut se demander si ses mesures, avec à ce jour 22 décès suite au coronavirus, sont appropriées (19). Même sous le Troisième Reich en Allemagne, ce genre de mesures n’ont jamais été prises.

J’en viens maintenant au cœur de mon sujet, c’est-à-dire : la surveillance totale. Quelles sont les méthodes de surveillance totale dont dispose l’élite ? Comment peut-on les appliquer ? Et surtout, pourquoi et dans quel but ?

Comme je l’ai mentionné plus haut, la majorité des citoyens*nes aspire à la sécurité et à la stabilité. En échange, ils*elles sont prêts*es à céder leur vie privée aux plus puissants. En février 2020, cela a commencé par l’annonce d’une pandémie, qui n’en est pas une. Ensuite, celle-ci s’est poursuivie avec l’assignation à résidence et les restrictions excessives de notre liberté. Fin avril 2020, l’application COVID-19 pour Android et iOS est apparue, dont l’architecture est très étroitement liée à une application d’espionnage (cheval de Troie fédéral), car, au moyen de cette application, tout ce que vous faites avec votre smartphone est stocké de manière centralisée, les données sont évaluées et intégrées dans des bases de données.

Celui qui croit que cette application a pour seul but d’identifier les personnes malades, va être bien surpris, surtout lorsque le jour viendra où votre employeur vous demandera soudainement pourquoi vous souffrez de l’une ou l’autre maladie, alors que vous ne l’en avez jamais informé. Certaines applications sont conçues pour « géolocaliser les populations et vérifier qu’elles respectent l’assignation à résidence », d’autres sont destinées à « informer les gens qu’ils ont pu avoir été en contact avec des personnes souffrant du COVID-19 ». À première vue, le deuxième type d’application peut sembler moins invasif (20). Néanmoins, en Allemagne près de 15 millions de citoyens*nes ont volontairement téléchargé et installé l’application sur leur smartphone. Il n’est pas exclu que pour des raisons de santé ou parce que la pression pour son utilisation devient trop importante, par exemple de la part des employeurs, l’État décide de rendre son installation obligatoire. Ou si le droit d’échapper à la « captivité » en dépend (20).

L’application d’alerte au coronavirus viole massivement la vie privée. Google et Apple ne s’abstiendraient jamais d’établir un profil à partir des données qu’ils recueillent. Les données sur la santé sont par définition les données les plus intimes des personnes, leur collecte centralisée complète ainsi que le suivi des séjours de tous*toutes les citoyens*nes est « le scénario horrifiant par excellence ». Aucun citoyen sensé ne téléchargerait volontairement quelque chose comme cela sur son téléphone portable. De ce fait, le Chaos Computer Club compte donc malheureusement avec une obligation d’installation (21). Mi-mai 2020, grand a été mon étonnement lorsque j’ai découvert l’application COVID-19 installée sans mon consentement sur mon smartphone. Comment m’en suis-je débarrassé ? En savoir plus (22) ? Par ailleurs et à titre d’information, Android peut aussi très bien fonctionner en se passant de Google (23).La surveillance totale ne date pas d’aujourd’hui, mais déjà depuis la fin des années 1980. Les stratégies internationales visant à stabiliser l’équilibre des pouvoirs pour une surveillance totale ont été établies. La domination des services en ligne tels que ceux offerts par les géants de l’informatique comme Google et Facebook donne à ces entreprises un pouvoir sans précédent sur les données les plus personnelles de millions de personnes : 2,8 milliards de personnes par mois utilisent un service Facebook, plus de 90 pourcent de toutes les recherches sur Internet se font sur Google et plus de 2,5 milliards de téléphones portables utilisent le système d’exploitation Android de Google (24). Nous ne sommes plus très éloigné de 1984 (Georges Orwell). Mais bien au contraire, nous nous y trouvons déjà.

Ci-après, je vais en détails sur les applications de la méthode de contrôle préconisée par l’élite. En fonction de ce que l’élite veut que les États fassent de nous, cette méthode de surveillance pourrait même devenir obligatoire pour tous. Avez-vous déjà entendu parler du transhumanisme ? J’ai déjà soulevé cette question dans le cadre de la Fondation Rockefeller, mais je ne l’ai pas encore abordée en profondeur.

La Fondation Bill et Melinda Gates a prévu quelque chose pour nous, et c’est bien cela : « Nous aurons bientôt des certifications numériques qui nous montreront ceux*celles qui sont guéri*es du virus, qui ont été testés*es et qui ont été vaccinés*es. » Et elle va encore plus loin avec un tatouage à points quantiques qui peut être placé sous la peau pour identifier le vaccin administré. Et cela va encore beaucoup plus loin, parce qu’un peu plus d’un milliard de personnes vivent sans pièce d’identité répertoriée. Avec son projet ID2020, Bill Gates entend leur donner une identité numérique (25). En Allemagne, des entreprises font de la publicité pour attirer des clients potentiels en vue d’une utilisation d’implants contenant des micro-processeurs. Au moyen de ceux-ci, les employés peuvent s’en servir pour ouvrir les portes. Certains porteurs pensent que ce n’est encore qu’un début. L’optimisation du corps humain par la technologie. Ces implants de micro-processeurs sont disponibles à partir de 39 euros. Les gens stockent leur carte de visite sur les minuscules plaquettes, s’en servent pour déverrouiller leur vélo, ont toujours leurs tests sanguins à portée de main, ouvrent les portes de l’entreprise ou de leur habitation. (26).

Dès qu’une pétition contre ces méthodes horribles est lancée, elle est supprimée (27). Afin de promouvoir les avantages de l’identité numérique et d’en faire de la propagande dans les médias, l’hebdomadaire « Die Zeit » a reçu un peu moins de 300.000 dollars US, tandis que « Der Spiegel » a même reçu 2,5 millions de dollars US. Ce soutien bénévole a été financé par la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF). La « Digital Identity Alliance », financée par Bill Gates, Microsoft, Accenture et la Fondation Rockefeller, veut combiner les certificats de vaccination numériques avec une identité numérique biométrique globale qui subsistera toute une vie. Des questions se posent quant à l’indépendance de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), qui est financée par Gates par l’intermédiaire de la BMGF et de l’Alliance GAVI pour les vaccins en tant que principal donateur, ainsi que sur un conflit d’intérêts potentiel à l’Institut Robert Koch et à l’hôpital de la Charité à Berlin, tous deux agissant en tant qu’employeur de Christian Drosten, et financés par des dons de plusieurs centaines de milliers de dollars US provenant de la BMGF (28).

Que vous le croyez ou pas, je peux encore ajouter des preuves à ces méthodes de surveillance totale. Le brevet WO2020060606A1 permet d’activer un système de monnaie cybernétique au moyen de données corporelles (29) et cela va encore plus loin avec une loi du gouvernement américain sous la dénomination H.R.6666 – COVID-19 Testing, Reaching, And Contacting Everyone (TRACE) Act (30). Le contrôle total sur le cerveau n’est plus un fantasme, mais très bientôt une réalité (31).

Elon Musk produit des véhicules électriques, mais fait également avancer la recherche neurologique. Neuralink d’Elon Musk, la mystérieuse société qui développe des interfaces cerveau-machine, a présenté pour la première fois au public certaines de ses technologies. L’objectif est de commencer à implanter à terme des dispositifs chez les personnes paralysées qui leur permettront de contrôler des téléphones ou des ordinateurs (32). Il reste à voir si les liens neuronaux n’auront qu’un but médical. En tout cas, je suis très sceptique quant au fait que ce soit le seul objectif.

Chaque année, le Forum Économique Mondial (WEF) se réunit à Davos. En 2019, un agenda a été créé ayant pour leitmotiv « The great reset » (33), qui devrait angoisser plus d’une personne : une solution qui est la lutte du petit contre le petit. La nanotechnologie désigne toute technologie qui possède ou contient des composants dont la taille est comprise entre 1 nm et 100 nm. La nano-médecine, qui fait appel à cette minuscule technologie, est utilisée dans de nombreux domaines, entre autres pour des pansements contenant des nanoparticules d’argent antibactériennes aux dispositifs de diagnostic complexes (34). Bien entendu, l’élite ne nous présentera que le bon côté de ces technologies. La vérité est tout autre. Depuis le début des années 1950, de nombreuses recherches ont été menées sur les connexions entre le cerveau humain et la machine. Aujourd’hui, COVID-19 est le moyen idéal pour parvenir à une fin (35), celle de pouvoir contrôler complètement le cerveau humain.

Je me rends bien compte que vous allez me prendre pour un complotiste et un fou. Cela se justifie aussi, car vous devez d’abord traiter ces informations sur le plan émotionnel, voire y faire face. Soyez rassurés, j’ai moi-même eu besoin de ce temps de réflexion, car je ne pouvais pas m’imaginer que ces technologies étaient déjà tellement avancées. Mais c’est malheureusement la réalité, notre réalité. La mise en œuvre de celles-ci aura lieu dans un très proche avenir.

Vous pouvez constater par vous-même que toute forme de protestation contre le délire du COVID-19 est immédiatement rejetée par la majorité. Peu importe que ces protestations émanent de citoyens*nes, de politiciens*nes et de scientifiques. La majorité ne veut tout simplement pas voir et accepter que les droits fondamentaux de notre démocratie ainsi que nos droits à la liberté se trouvent en très grand danger. Même si un nombre croissant de personnes infectées sont à nouveau enregistrées, cela ne signifie pas pour autant que ces personnes infectées tomberont malades. Mais la propagande médiatique doit être maintenue en activité pour conserver la majorité des citoyens*nes dans un état de peur… jusqu’à ce que la vaccination accompagnée de la surveillance totale arrive. Croyez-moi, il sera trop tard pour vous réveiller, car dans le cadre d’un néo-féodalisme, l’humanité sera sous le contrôle total de l’élite.

(1) Coronavirus: Did COVID-19 leak from Chinese or US lab? https://www.voj.news/coronavirus-did-covid-19-leak-from-chinese-or-us-lab/
(2) Was will Washington mit Schuldzuschiebung auf China verheimlichen? http://german.cri.cn/kommentar/alle/3259/20200512/465890.html
(3) Bahn: Anbieter in Deutschland https://bahnreise-wiki.de/wiki/Bahngesellschaften_/_Anbieter_in_Deutschland
(4) Stromanbieter in Deutschland https://www.stromtip.de/stromanbieter.html
(5) Wasserprivatisierung durch die Hintertür https://www.nachdenkseiten.de/?p=15941
(6) Strompreise im Vergleich in Europa https://strom-report.de/strompreise-europa/
(7) Wenn Regierungen Steuermilliarden für Gates und Weltwirtschaftsforum einsammeln, haben die Konzerne die Weltregierung übernommen https://norberthaering.de/die-regenten-der-welt/geberkonferenz-gates-weltwirtschaftsforum/
(8) Digitalisierung Speerspitze des Neoliberalismus https://neue-debatte.com/2020/02/29/digitalisierung-speerspitze-des-neoliberalismus/
(9) Corona-Krise: Spahn will auch Daten von Nicht-Infizierten https://www.heise.de/tp/features/Corona-Krise-Spahn-will-auch-Daten-von-Nicht-Infizierten-4715888.html
(10) Corona-Maßnahmen: Snowden warnt vor „Architektur der Unterdrückung“ https://www.heise.de/newsticker/meldung/Corona-Massnahmen-Snowden-warnt-vor-Architektur-der-Unterdrueckung-4701418.html
(11) « La classe dirigeante mondiale ne permettra pas qu’un nouvel ordre mondial équitable apparaisse » https://www.legrandsoir.info/la-classe-dirigeante-mondiale-ne-permettra-pas-qu-un-nouvel-ordre-mondial-equitable-apparaisse.html
(12) Endete der Kampf für Grundrechte in der Psychiatrie? https://www.lto.de/recht/hintergruende/h/rechtsanwaeltin-bahner-heidelberg-corona-skepsis-grdunrechte-psychiatrie-verschwoerung/
(13) Kommt es zu einer Deglobalisierung der Wirtschaft? https://www.cash-online.de/investmentfonds/2020/kommt-es-zu-einer-deglobalisierung-der-wirtschaft/505532?utm_source=nl&utm_medium=email&utm_campaign=newsletter120520
(14) (15) (16) Die Diktatur der Konzerne, Thilo Bode, S. Fischer Verlag
(17) Le dernier homme – Le Grand Soir https://www.legrandsoir.info/le-dernier-homme.html
(18) Der Macher des Gleichschritt-Szenarios der Rockefeller Stiftung wirbt nun offen für Totalüberwachung https://norberthaering.de/die-regenten-der-welt/schwartz-lock-step/
(19) Der Corona-Knast https://www.rubikon.news/artikel/der-corona-knast
(20) « Stop Covid » : une application de pistage du virus respectueuse des libertés est-elle possible ? https://www.bastamag.net/Application-stopcovid-tracking-tracage-surveillance-libertes-vie-privee-geolocalisation
(21) Corona Warn-App verletzt die Privatsphäre massiv https://www.security-insider.de/corona-warn-app-verletzt-privatsphaere-massiv-a-930242/
(22) How to remove the COVID-19 tracking function on ANDROID-SMARTPHONES https://www.youtube.com/watch?v=MLeQWRW-sH8 and on iOS-SMARTPHONES https://www.howtogeek.com/674272/how-to-turn-off-covid-19-exposure-logging-and-notifications-on-iphone/
(23) Android ohne Google https://www.giga.de/extra/android-spezials/specials/android-ohne-google/
(24) Die totale Überwachung ist erreicht https://gewerkschaftsforum.de/internationale-strategien-zur-stabilisierung-der-machtverhaeltnisse-die-totale-ueberwachung-ist-erreicht/
(25) Bill Gates: Mikrochip-Implantate gegen Coronavirus https://www.freiewelt.net/nachricht/bill-gates-mikrochip-implantate-gegen-coronavirus-10080827/
(26) Wie die Technik zum Teil des Körpers wird https://www.tagesspiegel.de/wirtschaft/mikrochips-unter-der-haut-wie-die-technik-zum-teil-des-koerpers-wird/25310962.html
(27) Petition für Debatte gegen Mikrochip-Implantat von Bill Gates wurde gelöscht! Up-Date https://uncut-news.ch/2020/04/12/petition-fuer-debatte-gegen-mikrochip-implantat-von-bill-gates-wurde-geloescht-up-date/
(28) Über Impfstoffe zur digitalen Identität? https://www.heise.de/tp/features/Ueber-Impfstoffe-zur-digitalen-Identitaet-4713041.html
(29) Google-Microsoft Patent WO2020060606A1_Body Acrivity Data https://patents.google.com/patent/WO2020060606A1/en
(30) H.R.6666 – COVID-19 Testing, Reaching, And Contacting Everyone (TRACE) Act https://www.congress.gov/bill/116th-congress/house-bill/6666/text?r=2&s=1
(31) Human Mind Control of Rat Cyborg’s Continuous Locomotion with Wireless Brain-to-Brain Interface https://www.nature.com/articles/s41598-018-36885-0
(32) Elon Musk unveils Neuralink’s plans for brain-reading ‘threads’ and a robot to insert them https://www.theverge.com/2019/7/16/20697123/elon-musk-neuralink-brain-reading-thread-robot
(33) The great Reset https://www.weforum.org/agenda/archive/the-great-reset
(34) 3 ways nanotechnology is being used to battle coronavirus https://www.weforum.org/agenda/2020/09/coronavirus-nanoscience-tiny-technologies-pandemic-covid19/
(35) Covid-Gate, The Political Virus – Prof. Michel Chossudovsky https://www.youtube.com/watch?v=_x1kWszr1fk

Schreibe einen Kommentar

Deine E-Mail-Adresse wird nicht veröffentlicht. Erforderliche Felder sind mit * markiert

Diese Website verwendet Akismet, um Spam zu reduzieren. Erfahre mehr darüber, wie deine Kommentardaten verarbeitet werden.